[11 décembre]
Samedi 7 décembre, sous le pavillon de l’agriculture et de la pêche pendant le Royal Calédonia Show, la signature très attendue de la charte apicole 
par les 12 signataires a marqué le début d’un processus devant permettre d’engager des travaux et réflexions à même de favoriser une meilleure structuration de la filière apicole 
en Nouvelle-Calédonie
par les 12 signataires a marqué le début d’un processus devant permettre d’engager des travaux et réflexions à même de favoriser une meilleure structuration de la filière apicole en Nouvelle-CalédonieLa Chambre d’agriculture et de la pêche était représentée par son président, Jean-Christophe Niautou et deux élus apiculteurs, Philippe Lemaître (signataire au titre du SANC) et Caroline Faivre (au titre de l’ADANC).
Outre la CAP-NC, les autres signataires sont 
:
:– l’État
– le gouvernement de Nouvelle-Calédonie
– les trois Provinces
– l’ADECAL Technopole
– l’Agence Rurale
– la FNSEA
– le GVT
– le SANC (Syndicat des Apiculteurs de Nouvelle-Calédonie)
– l’ADANC (Association des Apiculteurs de Nouvelle-Calédonie)
Si la filière 
possède un réel potentiel de production, de consommation, des outils de transformation et d’accompagnement des producteurs, elle n’en est pas moins confrontée à des difficultés : tension sur le marché avec une offre supérieure à la demande et la baisse des prix. Cette tension a été accentuée avec la crise de mai, l’inflation des prix des intrants, du fret et des postes d’énergie. Face à ces difficultés, les différents partenaires de la filière ont décidé d’agir conjointement en définissant plusieurs axes d’intervention pour atteindre les objectifs fixés : maîtrise des problématiques sanitaires, méthodes de commercialisation du miel, compétence technique de la production et du conditionnement du miel, formation des apiculteurs, financement de la filière, transformation et valorisation des produits de la ruche (autre que le miel).
possède un réel potentiel de production, de consommation, des outils de transformation et d’accompagnement des producteurs, elle n’en est pas moins confrontée à des difficultés : tension sur le marché avec une offre supérieure à la demande et la baisse des prix. Cette tension a été accentuée avec la crise de mai, l’inflation des prix des intrants, du fret et des postes d’énergie. Face à ces difficultés, les différents partenaires de la filière ont décidé d’agir conjointement en définissant plusieurs axes d’intervention pour atteindre les objectifs fixés : maîtrise des problématiques sanitaires, méthodes de commercialisation du miel, compétence technique de la production et du conditionnement du miel, formation des apiculteurs, financement de la filière, transformation et valorisation des produits de la ruche (autre que le miel).